Pas du tout. Pourtant nous n'étions qu'une poignée. La poignée est devenue groupe. Le groupe attroupement. L'attroupement foule. Des hommes des femmes des enfants un Patrick au rire communicatif. Un Patrice Kalla conteur rieur, pour offrir une ambiance conte-soul autour de ses origines africaines. Du côté de son père. Lyonnaises, du côté de sa mère. Une dualité entre "quenelle et huile de palme" qui l'a rendu musicien-conteur-chanteur pour le plaisir du public. Sa force, l'inter activité et aussi un phrasé musical. Qui annonce le musicien et le chanteur. Une soirée enjoué et délicieuse. Le soleil, curieux, est réapparu dès les premières notes sur le front du théâtre. Et les nuages se sont tirés. Vaincus par le goût des mots : l'enfant qui court toute une vie ; crâne qui t'a mené là ? L'oeuf et le lézard ; L'amour et le temps ; La p'tite Diabou et une version du Métèque -si mes oreilles ne m'ont point trompées- et d'autres airs souls fameux. Sur la place de la mairie, un goût de bonheur à oublier les morosités climatiques. Un très bon moment partagé en compagnie de musiciens beaux, souriants et talentueux : pianiste, bassiste et percussionniste.
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